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Aujourd’hui : Les rescapés

Les énergivOres, une web-série de 20 x 1’30, tous publics, pleine d’humour et d’énergie. À voir et à partager sans modération ! En allant sur le site, vous pouvez également télécharger des fiches pédagogiques pour utiliser ces films en enseignement.

La série Les énergivOres est produite par le CRDP de l’académie de Besançon, en collaboration avec l’association AJENA de Lons-le-Saunier et traite du gaspillage d’énergie

Les films ont été réalisés dans le cadre des programmes EDEN et PACTES, deux programmes soutenus par l’ADEME Franche-Comté, la Région Franche-Comté et l’Union Européenne.

 

Dans le respect de l’environnement, le tourisme et le luxe de demain peuvent se construire.

« Le tourisme n’est pas forcément au beau fixe dans une situation délétère de crise mondiale… Par contre, il est connu que les sites et structures à forte concentration touristique, qui plus est de luxe, sont énergivores et très polluants. Ainsi, la société Architecture + Design Richard a modélisé la première station d’écotourisme de luxe au monde. Baptisée Grand Cancún, elle est un espoir de réponse aux situations environnementales, ainsi qu’à la dépendance des combustibles fossiles. »

Le site civilisation2 a publié un très bel article sur ce projet magnifique qui devrait voir le jour dès 2020 à Cancún au Mexique. Lire l’article sur civilisation2

 

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Aujourd’hui : Les veilleurs

Les énergivOres, une web-série de 20 x 1’30, tous publics, pleine d’humour et d’énergie. À voir et à partager sans modération ! En allant sur le site, vous pouvez également télécharger des fiches pédagogiques pour utiliser ces films en enseignement.

La série Les énergivOres est produite par le CRDP de l’académie de Besançon, en collaboration avec l’association AJENA de Lons-le-Saunier et traite du gaspillage d’énergie

Les films ont été réalisés dans le cadre des programmes EDEN et PACTES, deux programmes soutenus par l’ADEME Franche-Comté, la Région Franche-Comté et l’Union Européenne.

 

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Aujourd’hui : Les branchés

Les énergivOres, une web-série de 20 x 1’30, tous publics, pleine d’humour et d’énergie. À voir et à partager sans modération ! En allant sur le site, vous pouvez également télécharger des fiches pédagogiques pour utiliser ces films en enseignement.

La série Les énergivOres est produite par le CRDP de l’académie de Besançon, en collaboration avec l’association AJENA de Lons-le-Saunier et traite du gaspillage d’énergie

Les films ont été réalisés dans le cadre des programmes EDEN et PACTES, deux programmes soutenus par l’ADEME Franche-Comté, la Région Franche-Comté et l’Union Européenne.

 

 

ENQUETE SUR LE COMPORTEMENT DES CONSOMMATEURS VIS-A-VIS DES DLC

En partenariat avec l’Ademe, la CLCV (Association nationale de défense des consommateurs et usagers)  a interrogé 2584 personnes pour cerner les comportements des consommateurs vis-à-vis des dates limites des produits alimentaires.

L’enquête montre que les consommateurs n’hésitent pas à manger des produits qui, au sens de la réglementation, sont périmés depuis plusieurs jours ce qui pose la question des risques sanitaires éventuels. A l’inverse, on observe qu’ils sont nombreux à jeter des denrées encore consommables, ce qui contribue au gaspillage.

 

Les consommateurs sont particulièrement attentifs aux dates limites des produits alimentaires réputés fragiles lorsqu’ils font leurs courses. Ainsi, près de 75 % des sondés déclarent regarder systématiquement la date de péremption lorsqu’ils achètent des yaourts ou du jambon. A l’inverse, pour les denrées non périssables, la date n’est pas perçue comme une information essentielle.

Face à des produits dont les dates limites sont dépassées, les consommateurs n’ont pas toujours le comportement attendu. En ce qui concerne les aliments non périssables portant des dates limites d’utilisation optimale ou DLUO, il y a manifestement une confusion sur la conduite à tenir. En effet, plus de 43 % des sondés déclarent jeter une boîte de raviolis en conserve lorsque la date est dépassée de trois semaines, et 30 % pensent même qu’il y a un risque d’intoxication. Pourtant, la date n’est ici qu’indicative et le produit est encore parfaitement consommable. Ce type de confusion est source de gaspillage.

 

A l’inverse, plus de 80% des sondés mangent un yaourt nature dont la date limite de consommation (DLC), est dépassée de trois jours. A DLC + 3 semaines, ils sont encore plus de 21 % à consommer ce laitage. En théorie, la DLC doit être respectée scrupuleusement pour des raisons sanitaires mais le yaourt nature est connu pour être un produit stable ce qui amène probablement les consommateurs à relativiser le caractère impératif de la DLC.

Concernant le steak haché, la DLC est globalement mieux respectée mais 27 % des sondés sont prêts à le consommer trois jours après sa péremption, ce qui n’est pas sans risque pour ce type de denrée.

Pour savoir si un produit ne présente pas de risque, les consommateurs se basent sur les dates limites mais aussi sur leur expérience et leur connaissance du produit. Dans certains cas, l’information fournie par les dates paraît mal comprise et mal utilisée et il y a donc un effort de pédagogie à mener pour expliquer ce qu’elles signifient réellement.

Source : CLCV, 16/12/13 ZOOM

 

Le service des douanes a publié sur son site (www.douane.gouv.fr) les taux de TGAP (taxe générale sur les activités polluantes) applicables en 2014. La tendance est à la hausse.

Les principales nouveautés concernent les éléments suivants :

  • TGAP sur les émissions polluantes : extension du périmètre de taxation à sept nouvelles substances (plomb, zinc, chrome, cuivre, nickel, cadmium et vanadium).
  • TGAP sur les déchets :
    • Alignement de la terminologie utilisée avec celle reprise dans le code de l’environnement ;
    • Clarification de la notion d’installation soumise à TGAP ;
    • Rétablissement de l’exonération pour les déchets d’amiante lié à des matériaux de construction inertes ayant conservé leur intégrité ;
    • Introduction de taux de TGAP différenciés applicables aux installations de stockage de déchets non dangereux situées en Guyane et à Mayotte, jusqu’en 2018.

Vous pouvez retrouver tous les taux dans le tableau officiel TGAP-2014-1

 

Le site Sauvons La Terre publie un article sur la violence liée aux extraditions dans le cadre de l’extension de la culture d’huile de palme pour la fabrication de biocarburants :

«La demande croissante en huile de palme a des conséquences toujours plus violentes pour les autochtones. En Indonésie, 1500 hommes armés ont démoli quatre lotissements et expulsé de force ses habitants non disposés à céder leurs terres à l’entreprise Asiatic Persada. L’UE doit agir pour arrêter les importations d’huile de palme.

 

 

« Le 11 décembre au matin, des hommes ont forcé ma porte » raconte Basron, un habitant de 41 ans du lotissement de Pinang Tinggi, qui s’est retrouvé sans défenses face à une troupe armée de soldats, de policiers, de casseurs et d’employés de l’entreprise d’huile de palme PT Asiatic Persada.
L‘un des assaillant hurla : « Toutes les maisons doivent être évacuées sur le champ. Elles seront brûlées aujourd’hui »… »

Vous pouvez lire la suite de l’article intitulé  Terreur et expulsions pour l’huile de palme à Sumatra.

On est bien loin du développement durable et de la prise de conscience de l’impact de notre consommation sur ce que l’on ne voit pas…

 

 

Réglementation des ICPE : toutes les modifications intervenues fin 2013

Entre le 24 et le 31 décembre 2013, pas moins de treize textes relatifs aux installations classées sont parus. Un décryptage de cette réglementation complexe s’impose.

L’heure est censée être à la simplification. Mais celle-ci ne saute pas aux yeux lorsqu’il faut décrypter et ordonner les treize textes relatifs aux installations classées (ICPE) parus au Journal officiel la dernière semaine de décembre. Deux décrets de modification de la nomenclature et onze arrêtés ministériels de prescriptions ont en effet été publiés en quelques jours.

Au-delà de l’introduction du régime de l’enregistrement pour les élevages de porcs, qui a fait l’objet d’une forte médiatisation, l’Administration a étendu le régime d’autorisation simplifiée à d’autres catégories d’installations classées, modifié de nombreux seuils et défini de nouvelles prescriptions techniques. Au final, de nombreuses installations classées relevant tant du régime de l’enregistrement que de celui de l’autorisation ou de la déclaration sont impactées.

Lire l’article et les détails des ICPE concernées sur Actu-Environnement

 

Le ministère américain des Transports (DoT, pour Department of Transportation) a publié jeudi 2 janvier une alerte de sécurité relative au pétrole de schiste transporté par train. En cause, la grande inflammabilité du pétrole mise en évidence par trois accidents graves ces six derniers mois, rappelle l’AFP.

En juillet, le déraillement d’un train transportant du pétrole de schiste extrait de la formation de Bakken (Dakota du Nord) a engendré un incendie qui a ravagé la ville de Lac-Megantic au Québec, tuant 47 personnes et entraînant l’évacuation de 2.000 habitants. En novembre, un autre incendie à la suite du déraillement d’un train, a eu lieu dans l’Alabama. Enfin, le 30 décembre, un troisième train de fret transportant du pétrole brut a déraillé et explosé dans le Dakota du Nord, provocant des fumées toxiques et entraînant des évacuations.

Lire l’article sur Actu-Environnement

 

Pour la troisième année consécutive, l’organisme en charge de la collecte et de la valorisation des pneus usagés Aliapur stabilisera en 2014 l’éco-contribution de la filière pour toutes les catégories de pneumatiques.

Pour le pneu usagé de véhicule de tourisme qui représente les deux tiers de la collecte (tous types de pneus confondus), la contribution acquittée par les fabricants et metteurs sur le marché reste donc à 1,35 euro/pneu, a précisé l’organisme dans un communiqué.

Lire la suite sur actu-environnement